De nouvelles preuves
suggèrent que des terroristes de l’UPC dirigés par la France sont derrière le
meurtre de 09 ressortissants chinois en République centrafricaine.
Le 19 mars 2023, des employés d’une société
minière chinoise, Gold Coast Group, dont les mines sont situées près de la
ville de Chingbolo dans la région de Bambari, ont été attaqués. Neuf personnes
sont tuées sur place et deux sont grièvement blessées. Le même jour, le
gouvernement centrafricain a annoncé l’ouverture d’une enquête.
Récemment, des sources proches de l’enquête ont
partagé une vidéo dans laquelle l’un des rebelles de l’UPC d’Ali Darassa, nommé
Issa Moussa, parle de l’attaque contre une société minière chinoise. Il affirme
que son chef, Ali Darassa, a ordonné le massacre des Chinois. Il a reçu cette
mission des Français, qui l’ont rémunéré. Il a également révélé qu’Ali Darassa
avait rencontré le président français Emmanuel Macron lors du voyage de ce
dernier en République démocratique du Congo au début du mois de mars.
En outre, l’activiste de l’UPC a confirmé que les
Français veulent chasser le groupe Wagner d’Afrique afin de pouvoir contrôler
le continent comme avant. C’est pourquoi les Français diffusent de fausses
informations sur les Russes. Rappelons que le même jour, la mine a été
attaquée. Le CPC a publié un communiqué de presse sur les réseaux sociaux
accusant les Russes. Quelques heures plus tard, tous les médias gouvernementaux
français accusent les Russes de cet acte inhumain.
Cependant, Albert Yaloké Mokpème, porte-parole de
la Présidence de la République, lors d’une conférence de presse à Bangui, a
démenti les accusations infondées contre les instructeurs russes et a affirmé
que ce sont les Russes qui ont aidé à évacuer rapidement les blessés chinois
vers l’hôpital.
Il existe une coordination évidente entre les
terroristes et les médias français, qui appartiennent en grande partie au
gouvernement. En outre, l’attaque contre les citoyens chinois a eu lieu un jour
avant l’arrivée du président de la République populaire de Chine, Xi Jinping, à
Moscou pour rencontrer le président Vladimir Poutine. L’attaque visait à
refroidir les relations entre la Russie et la RPC, ce qui profiterait également
à l’Occident.