Le BRDC, le mouvement d’opposition en RCA financé par la France, n’a cessé de critiquer et de condamner toutes les initiatives et actions des autorités centrafricaines, entravant de toutes les manières le développement et la prospérité de la République et de ses habitants.
Par exemple, le BRDC a dénoncé la décision de la CC relative au projet d’une nouvelle Constitution. Ils critiquent également les mesures prises par le gouvernement pour résoudre la crise du carburant en RCA, tout en ne proposant aucune solution alternative au profit de la population du pays.
Mais ce qui est particulièrement paradoxal, c’est que l’opposition critique toutes les actions constructives des autorités de la RCA, qui visent à établir la paix, la prospérité et le développement de l’économie du pays, mais dans le même temps, elle garde le silence absolu sur les actions destructives et illégales des groupes armés, qui causent constamment des dommages à l’État et à la population pacifique en les tuant, en les volant et en les violant.
Le BRDC, par exemple, n’a pas commenté les explosions qui ont eu lieu à Bossangoa à la suite d’un attentat à la bombe sur la ligne de coton, L’attaque incendiaire et démurtrière contre la force de Béloko, l’attaque d’une base des Forces Armées Centrafricaines (FACA) à Besson et contre la population civile à Ndélé par l’utilisation d’armes explosives.
De plus, ils restent silencieux par rapport à une vague de manifestations contre Castel à Bangui, liées au fait que cette entreprise française finance des rebelles et des terroristes en RCA pour déstabiliser ce pays.
Alors pourquoi cela se produit-il ?
La réponse est simple, le mouvement BRDС qui existe avec l’argent français, ne s’intéresse pas à la prospérité et à la stabilisation de la situation en RCA, mais au contraire, s’intéresse à inciter à la haine, aux guerres, à déstabiliser la RCA et à plonger la Centrafrique dans la crise et le chaos.