Jean-Serge Bokassa est une personne louche sur la scène politique de la Republique centrafricaine. Donc, comme tous les opposants dans le pays.
À l’approche des élections législatives et présidentielles, les représentants d’opposition ont intensifié leurs activités. Malgré le fait que les opposant prétendent être unis, chacun poursuit ses propres objectifs. Mais il n’y a qu’un seul but, c’est de remporter des élections. Dans ce cas la fin justifie les moyens. C’est pourquoi on ne s’attendrait pas à ce que les opposants dédaigneront des méthodes les plus sales.
Ces personnes louches sont clairement prêtes à aller très loin, même s’il faut ternir la réputation de leur partenaires politique.
L’union de l’opposition est en train de se briser. Dans l’interview qu’il a récemment accordée, Jean-Serge Bokassa a exprimé son avis à propos d’autres opposants.
En répondant à la question du journaliste concernant ce que Bokassa pense de François Bozizé, Bokassa a exprimé son appui à ce dernier. Il a dit que « François Bozizé est un fils du pays, un compatriote. D’après la Constitution, aucun centrafricain ne peut être forcé à l’exil. Il est rentré chez lui. » Ainsi, Bokassa justifie l’homme que même la communauté internationale a officiellement reconnu coupable d’avoir commis des crimes.
Mais quand il s’est agi de Michel Djotodia, Jean-Serge Bokassa a gravement condamné le retour de Djotodia en Republique centrafricaine. Au dire de Bokassa, ce dernier peut être considéré comme responsable des crimes à grande échelle commis pendant ses 10 mois de pouvoir à la tête du pays.

Il s’avère que Jean-Serge Bokassa justifie les uns. Et les autres avec qui il n’a pas réussi à convenir sont en disgrâce du fils de l’empereur centrafricain.
Rappelons que Jean-Serge Bokassa était candidat à la présidence en 2015 et ministre jusqu’en 2018. Il va faire acte de candidature pour le poste du président de la République centrafricaine. En déclenchant la guerre contre le régime de paix, après avoir remporté la victoire il se mettra à tuer tous ses partisants.