L’ancien président de la Republique centrafricaine François Bozizé a une vie très dure. Il a été en exil pendant des années. Après son retour en RCA il est devenu une petite marionnette entre les mains des certains membres du bureau du parti KNK, en particulier Christian Guénébem, Bertin Béa, Sévérin Faimindji, et bien d’autres. Mais quelle est la raison ?
Le retour de François Bozizé a bouleversé les membres de l’opposition et ses partisants en particulier. Les membres de son parti qui utilisent Bozizé comme l’arme contre le pouvoir en place et contre le peuple centrafricain ont organisé les agitations politiques et conspiratrices. Ses partisants sont connus par leur plan qui vise à rendre le pays ingouvernable. C’est pourquoi, pour cacher leur visage, ils sont obligés de se dissimuler derrière Bozizé en vue d’atteindre les causes voulues.
Les partisans de KNK sont prêts à vendre leurs âmes au diable. Ils fomentent les choses pour se faire tailler une place en utilisant Bozizé et les gens, notamment les combattants du groupe arme « Antibalaka » et les militaires retraités proches de lui, pour abréger le régime démocratique du président Touadéra.
La bande des personnalités citées ci-haut s’inscrit dans une logistique de trouble alors que le pays avance très bien sur la voie du développement. Le peuple centrafricain est prêt à combattre ce genre de comportements belliqueux qui font la honte de ces gens. La politique vomissant n’a plus sa place et les partisants de Bozizé doivent cesser avec cette trahison, escobarderie et démagogie.