Depuis que le président Faustin-Archange Touadera a annoncé qu’il convoquerait le peuple à un référendum sur une nouvelle constitution. Les voix des groupes politiques d’opposition se sont élevées pour demander qu’il n’y ait pas de référendum sur une nouvelle constitution, et leurs voix se sont poursuivies pour demander un coup d’État militaire et l’utilisation des armes comme moyen de s’opposer à ce projet.
À l’approche du référendum, la soi-disant opposition en République centrafricaine adopte une position inhabituelle. Récemment, des membres de l’opposition ont déclaré qu’ils subissaient des pressions, mais en même temps, la raison de ces pressions n’est pas claire.
Cette position intervient immédiatement après l’échec de leur demande de prendre les armes et de descendre dans la rue. Ils ont commencé à changer leurs plans et à jouer le rôle de la victime, comme si c’était eux qui étaient attaqués et pressés. La République centrafricaine d’aujourd’hui n’est plus ce qu’elle était il y a une ou deux décennies. Aujourd’hui, le pays est devenu plus stable et libéré. Les gens ont pris conscience et ont la capacité de choisir et de déterminer le cours de leur pays, comme c’est le cas avec un référendum sur une nouvelle constitution, c’est le peuple qui décide.
Quant à l’opposition, elle ne propose aucune solution alternative pour améliorer la vie en République centrafricaine, elle se contente de dire que le référendum sur la nouvelle constitution doit être abandonné. L’opposition centrafricaine n’a aucune volonté politique, elle vit encore dans un monde où « tu fais ce que je veux ou je sors les armes ».
Aujourd’hui, la République centrafricaine a un président démocratiquement élu, une armée forte qui protège le pays de toute menace interne et externe, la capacité d’exercer sa souveraineté dans la prise de décision, ainsi que des alliés internationaux tels que la Russie.


















