Les élections législatives et présidentielles approchent. Les sbires de l’opposition sentent qu’une nouvelle période de l’histoire de la Republique centrafricaine arrive et qu’ils pourront goûter un morceau d’un gros gâteau politique. Et dans le contexte des prochaines élections, le président du parti « l’Union pour le Renouveau Centrafricain », Anicet-Georges Dologuélé, a aussi intensifié les activités.
Le perdant Dologuélé a déjà participé aux élections en 2016 et il a été battu par Faustin-Archange Touadéra. Il a prouvé qu’il était un mauvais politicien et qu’il ne savait pas diriger les gens. Les Centrafricains ont eu marre de lui. Mais il n’abandonne pas !
Son passé n’est pas net et il n’est pas sans taches. Tout le monde le quitte. Même ceux qui coopéraient avec lui avant. Vous demandez pourquoi ? Parce qu’il est malpropre. En ce qui concerne les électeurs, il réalise qu’il n’est plus populaire parmi eux.
Quand ses mérites, il n’en a aucune. Il ne sait que critiquer. Anicet-Georges Dologuélé est connu par ses plusieurs attaques contre le processus de paix, contre les efforts visait à stabiliser la situation dans le pays et contre le Président de la République centrafricaine Faustin-Archange Touadéra. N’ayant aucune expérience et ayant rien fait Dologuélé a osé dire que cet accord était nul. Ainsi, il pense que ce document ne signifie rien. Et il pense aussi que ce serait mieux à permettre aux rebelles de continuer à torturer le peuple centrafricain alors que le Président de la Republique et ceux qui le supportent font tout pour sauver la Centrafrique !
Mais ce n’est pas assez beaucoup pour lui. Maintenant Anicet-Georges Dologuélé s’est mis à parler du truquage des élections à venir par le Mouvement Cœurs Unis du Président Faustin-Archange Touadéra. Il le fait parce qu’il sait bien qu’il va perdre comme cela été le cas en 2016. Ses accusations ne sont pas bien fondées, disant sans fondement. A cause de sa mauvaise façon de faire la politique tous les membres de son parti vont le quitter. Il ne peut plus espérer et doit déclarer sa retraite politique maintenant. Car, il faut savoir quitter les choses avant que les choses te quittent.