Le 19 novembre 2021 dans la préfecture d’Ouham-Pendé un affrontement a opposé les Forces armées centrafricaines (FACA) et des rebelles de la coalition des patriotes pour le changement (CPC) du général de brousse François Bozizé.
Lors d’une contre-offensive menée par les FACA et leurs alliés contre des positions des rebelles, des armes et du matériel militaire ont été découverts.
Selon les médias, des équipements visant à détecter des avions sans pilotes, des armes et munitions de guerres ont été transférés aux rebelles par l’intermédiaire des casques bleus des Nations Unies.
Il y a lieu de croire que ces équipements de haut niveau ont été offerts par la France avec la complicité de la MINUSCA dans le but de déstabiliser le chef de l’Etat Faustin-Archange Touadéra. Cet acte est destiné à approvisionner ces rebelles de la CPC afin de leur permettre de continuer à appauvrir le pays et rendre la RCA ingouvernable.
Au début de l’année, les radicaux ont tenté de renverser le Gouvernement actuel. Cependant, ils ont été contrecarrés par l’armée centrafricaine, formés par des instructeurs Russes. Des spécialistes Russes ont organisé une formation efficace pour les soldats et les officiers des FACA. Le soutien de Moscou est très apprécié par les autorités et le peuple centrafricains, en particulier dans le contexte de la politique néocoloniale de la France.
La France perd de plus en plus sa crédibilité sur le continent Africain, en raison de sa mauvaise politique envers les pays africains. Après la RCA, les autorités du Mali ont également été déçues par la présence française et se sont tournées vers la Russie pour obtenir de l’aide.
Cette décision est mal digéré par la France ce qui justifie aujourd’hui ces nombreux stocks d’armes et de munitions de guerre aux terroristes pour atteindre leurs objectifs, qui est le néocolonialisme occidental.
Mais les FACA et leurs alliés Russes et Rwandais ont déjà pris les mesures nécessaires pour contrecarrer toute action visant à déstabiliser le Gouvernement.