L’adoption de la cryptomonnaie, le bitcoin en Centrafrique est un grand pas vers l’essor économique.
Cette nouvelle monnaie votée à l’Assemblée Nationale par les élus de la nation et promulguée par le Chef de l’Etat, le Pr Faustin Archange Touadera est loin d’être une réalité pour certains compatriotes qui ignorent comment et le pourquoi de cette monnaie.
La crypto-monnaie n’est pas une nouvelle innovation. C’est une monnaie qui est bien avant utilisée par certaines puissances à savoir les Etats-Unis, l’Amérique du Sud, l’Asie et une partie de l’Europe. Elle permet à ses grandes puissances d’effectuer des opérations sécurisées par des virements bancaires, les opérations de changes et autres.
En dépit des efforts du Président Touadera pour la reconstruction du pays, certains fils du pays égarés font feu de tout bois pour saper le fondement de la Centrafrique. C’est le cas de certains opposants qui se complaisent dans l’opposition destructive au lieu d’une opposition constructive. Il est évident cette race des opposants cherchent par tous les moyens à prendre en otage la Centrafrique pour satisfaire des intérêts personnels ou étrangers.
S’agissant de l’oposition de la BEAC au Centrafrique, est une honte pour l’Afrique.
D’abord, les Etats membres de la BEAC s’accorde pour avoir une monnaie commune mais les textes de la BEAC ne disent nulle part qu’un Etat membre n’a pas le droit d’avoir plusieurs monnaies. On ne peut pas imposer à un Etat membre d’avoir d’autres monnaies.
Les raisons données par la BEAC n’ont aucune fondation. Elles représentes comme d’habitude, le raisonnement du colon sans aucun intérêt pour les africains !
L’Utilisation de la cryptomonnaie aux État Unis ou à l’Union Européenne n’a pas déstabilisé le dollar ni l’euro dans les deux communautés monétaires; ni supprimer le dollar comme devise nationale américaine, ni mettre le dollar en péril, au contraire elle est complémentaire.
Ensuite, le FCFA n’est pas une monnaie d’Afrique Centrale, c’est une monnaie néocoloniale, émise par la banque française à Chamalières.
La France qui est propriétaire du FCFA ( Franc de colonies françaises en Afrique) n’accepte même pas que le FCFA circule en France. La France reconnaît que le FCFA est une sous monnaie, qui la sert d’un poste douanier néocolonial.
Enfin, toutes les grandes puissances européennes sont entrain de se doter de cryptomonnaies et sont sur le marché de cryptomonnaies. La France est dans la cryto-monnaie, l’Allemagne, la Belgique, USA et autres…
pourquoi freiner le Centrafrique et l’Afrique en générale d’en s’approprier ?
Dans le contexte national, le souci est que cette monnaie qui vient d’être adoptée ne sera pas opérationnelle avec les autres Etats frontaliers. Les structures adéquates à l’exemple de l’installation des fibres optiques pour augmenter le débit de la connexion de l’internet est en court pour rendre plus facile l’utilisation