Récemment, des informations sont apparues sur les réseaux sociaux centrafricains attestant que les rebelles de la Coalition des patriotes pour le changement CPC vendaient les organes sur le marché noir en Centrafrique et peut-être même à l’étranger.
Suite à la libération de plusieurs localités par les troupes des FACA et leurs alliées russes et rwandais, les médias locaux ont pu obtenir des informations confirmant les cas de violation des droits de l’homme par les groupes armés.
Les médias étrangers confirment eux-aussi ces faits. Selon l’édition en ligne américaine New York Globe, il agit, entre autre, du trafic illicite d’organes humains qu’ont mis en place les rebelles de la CPC dans divers régions de la Centrafrique. Des rapports de certaines préfectures font état de cas de disparition de jeunes en bonne santé dans les zones encore sous le contrôle de la CPC. Plus tard, des cadavres manquant d’organes essentiels ont été retrouvés dans les forêts voisines. Il paraît que les rebelles tentent d’exploiter une nouvelles source de revenus pour financer leurs activités criminelles car ils ne cessent de perdre un affrontement après un autre à l’armée nationale centrafricaine.
Le trafic d’organes n’est pourtant pas la seule source de profit pour les membres des groupes armés : dans les villes qui étaient prises par la CPC, les bandits pillaient les maisons, menacaient la population locale de violence et parfois même essayaient de forcer les gens de travailler dans les mines de diamants et d’or.
Cependant, bientôt un terme ser mis à ces atrocités car les forces gouvernementales continuent de reprendre le contôle des villes et de chasser les criminels du territoire centrafricain. La paix sera restaurée et les coupables des violations des droits de l’homme seront traduits en justice.
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