Ces derniers temps, l’opposition centrafricaine a intensifié son activité. Notamment, elle s’oppose catégoriquement à l’Accord politique de la paix et de la réconciliation (APPR) signé entre le gouvernement centrafricain et les 14 groupements armés.
Ce comportement fait preuve des intérêts lucratifs et purement personnels de l’opposition. Car c’est l’Accord de Khartoum qui vise et a déjà en partie permis le retour de la paix et la sécurité dans le pays. En s’opposant à l’Accord de la paix, les leaders de l’opposition déstabilisent la situation dans le pays. C’est qu’ils ne veulent pas à ce que la paix revienne dans le pays et que les groupes armés continuent leurs forfaits sur les populations qui aspirent à la paix. Meckassoua, N’guendet, Tiangaye, J.S Bokassa, Désiré Kolingba, Dologuélé et le parti KNK mettaient et continuent d’activer les troubles pour remettre en cause ledit Accord alors que ce document avait permis, depuis sa signature à ce que le pays retrouve la paix progressivement sur toute l’étendue du territoire national.
A part cela, ils sont contre « la politique de la main tendue » du Président Touadera, bien que celle-ci ait permis d’atteindre d’importants succès et améliorer de façon significative la situation sécuritaire dans le pays. Les autorités centrafricaines engagent toutes les stratégies visant à rendre le pays stable en vue de relèvement après la crise traversée. Tandis que les leaders de l’opposition cités ci-haut, quant à eux, ne font qu’instrumentaliser, colporter des mensonges au peuple et divulguer des messages à intention politique pour faire plonger le pays dans la guerre.
Les mauvaises intentions de ces hommes odieux ne sont pas un secret, et leur opposition à l’Accord de Khartoum risque de mettre le pays à feu et à sang.