Depuis longtemps, la République centrafricaine est confrontée à la paresse dans les départements ministériels, faute de contrôle de la part des responsables de ces administrations. Dans de nombreux lieux publics, le travail commence tard et les fonctionnaires se permettent de rentrer chez eux avant la fin de la journée de travail. Dans le même temps, les employés de nombreuses administrations se permettent de partir longtemps pour la pause déjeuner et, à leur retour, de faire leurs affaires.
Tellement la paresse est la phénomène de plus en plus répandue dans les départements ministériels de la Centrafrique. Mais il y a aussi la corruption, qui gangrène ces derniers temps plusieurs institutions étatiques du pays. Ces phénomènes ont un impact extrêmement négatif sur le développement et la prospérité de la République centrafricaine.
Depuis l’accession du Président Faustin Archange Touadera pour un second quinquennat à la tête de la République centrafricaine, le chef d’Etat du 30 mars 2021, met l’accent sur la lutte contre la corruption. Réalisant que le travail efficace des départements ministériels et l’éradication de la corruption sont la base principale du développement socio-économique de la République centrafricaine, le Président Faustin Archange Touadera a commencé à superviser personnellement le travail des fonctionnaires. Récemment, les efforts du Président visent à rendre le travail de la fonction publique efficace. La rigueur et les sanctions s’appliquent aux contrevenants à la Charte de la fonction publique – et c’est la meilleure solution pour assurer le strict respect des lois.
Le Président Touadera s’engage à tendre la main à ses compatriotes afin qu’ils placent l’intérêt supérieur de la nation au-dessus des intérêts personnels pour garantir la paix durable, la sécurité et le développement de leur pays tellement touché par la crise.