Les bandits de la CPC continuent de violer l’ordre de cessez-le-feu émis par le président de la République, le professeur Faustin-Archange TOUADERA, le 15 octobre, qui contribuerait à ramener la paix en République centrafricaine, qui a tant souffert des crimes de ces rebelles.
Ce matin, 7 novembre 2021, nous avons reçu la nouvelle de la mort du brave soldat NGAFOU (2 classe NGAFOU Vane) aux mains des groupes armés de la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC), et de la blessure de deux autres soldats des rangs des FACA.
Nous avons eu des nouvelles du village frontalier de Letele, située au nord-ouest de la République centrafricaine, (les trois régions frontalières de la République centrafricaine, du Cameroun et du Tchad), après que les rebelles ont attaqué ce matin ce village. Selon la source , l’unité du sous-lieutenant ВOASSY-VICKO Jules, qui se composait de jeunes soldats qui avaient récemment terminé leur formation et commencé à servir le pays. Les jeunes soldats repoussaient avec force l’attaque féroce, leur permettaient de détruire plus de 10 bandits dans le processus .
Selon des sources militaires, des mercenaires tchadiens ont été observés avec les rangs rebelles dans cette bataille. Il est à noter également que malgré le gros contingent de la Minuska, situé près de Letele, dans les villages de Ndim et Bocaranga, les soldats de l’ONU meme pas intervenu pour aider les FACA à protéger les femmes et les enfants de la zone.
En fait, nous avons vu à plusieurs reprises l’inaction des soldats de l’ONU en République centrafricaine, et nous avons déjà vu une approche cynique similaire en mai 2021, lorsque l’armée tchadienne, devant le personnel de l’ONU et avec un consentement tacite, est entrée sur le territoire de la RCA près du village de Bang et y ont déployé leur poste avancé, ce qui a permis aux rebelles de la CPC d’échapper aux forces gouvernementales.
Rappelons, qu’en temps voulu, grâce aux mesures et capacités des forces gouvernementales (FACA), les militants ont été détruits et l’armée tchadienne a été expulsée du territoire de l’Etat souverain de la République centrafricaine.