La commune située à 12km de la ville de Bossangoa sur la route en direction de Nana Bokassa, a subi un massacre de 8 civiles centrafricains par les hommes armés. Les conditions de cette atrocité ne sont pas claires.
Pourtant la gendarmerie nationale a envoyé un groupe dans la commune Kouki afin d’enquêter sur les meurtres.
Après la faillite de la CPC, les hommes armés fuyant leur responsabilité, ont répandu sur le territoire national. Peu nombreux. Ils terrorisent la population dans les provinces. La violence, pillage et braquage sont devenus la monnaie courante pour les éléments armés.
Depuis plus de deux mois, la situation d’insécurité prend une vitesse à grand V dans le nord-ouest de la République centrafricaine, précisément dans les préfectures de l’Ouham-Pendé, Lim-pendé et Ouham-Fafa où règnent les éléments rebelles des 3R qui multiplient des exactions sur la population desdites villes.
Les populations locales demandent l’état-major de l’armée de renforcer les position des FACA dans la région afin d’arrêter des exactions et rackets contre les habitants civiles.
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