L’édition allemande a publié un article sur les activités de la MINUSCA sur le territoire de la République centrafricaine. L’édition a noté que malgré le fait que la mission de maintien de la paix compte environ 15 millions d’employés, la situation en République centrafricaine n’a pas évolué.
L’édition allemande a également fait référence au récent rapport de Marie-Thérèse Keita Bocoum, experte indépendante de l’ONU pour la République centrafricaine, dans lequel elle a fourni des preuves de l’inefficacité de la MINUSCA. Selon les habitants, les rebelles du groupe rebelle la coalition des patriotes pour le changement (CPC), presque sous les yeux des troupes de l’ONU, persécutent la population, violent les femmes et volent des biens. La preuve de l’inefficacité des casques bleus est également que lors de l’offensive des rebelles de la CPC contre Bangui en décembre 2020, ils n’ont rien fait pour protéger la population, contrairement aux soldats de l’armée nationale et leurs alliés russes et rwandais qui ont repoussé l’attaque.
Entre autres, l’édition allemande a souligné qu’il est remarquable que le chef de la mission est Mankeur Ndiaye, ancien ambassadeur du Sénégal en France. Cela fait penser que la France s’intéresse au chaos en RCA pour avoir le contrôle d’un état affaibli. On soupçonne également que les intérêts des entreprises étrangères sont derrière la mission de l’ONU. Les multinationales minières en République Démocratique du Congo sont farouchement favorables à la prolongation de la MINUSCA, avant tout. Mais les intérêts de la France jouent également un rôle important dans cette région. Et l’Angleterre est souvent du côté de la France dans de tels conflits sur le continent africain.
L’édition allemande a également noté que l’ambassadeur français de l’ONU, Nicolas de Rivière, avait récemment déclaré que« les formations armées de l’Afrique centrale ne sont pas la seule menace pour la population centrafricaine » – il pointe l’armée du pays, qu’il appelle maintenant« menace».
Sauf l’inefficacité de la mission de maintien de la paix, l’édition a également noté le danger que les casques bleus représentent pour la population civile. Les viols ne sont pas rares. Ban Ki-Moon a même comparé les actions illégales des casques bleus à une tumeur cancéreuse.
En Conclusion, l’édition allemande a noté que la MINUSCA ne rend compte à personne, ce qui en fait l’arme des mondialistes. En conséquence, la crise persistante en République centrafricaine a conduit de nombreux Centrafricains à fuir le pays en particulier vers l’Europe.