La nomination de l’ancien ministre des finances et du budget Henri-Marie Dondra comme Premier ministre du second quinquennat du Président Faustin-Archange Touadera est la résultante de travail titanesque abattu par ce banquier. Elle résulte du bilan élogieux de ce dernier à la tête du département des finances où durant cinq années consécutives, l’homme a mené d’importantes réformes et a assaini les finances publiques jadis plombées par la gestion scabreuse des régimes précédents.
Henri–Marie Dondra s’est engage en politique très jeune. Il fut le vice-président du bureau national de la Jeunesse de l’ex parti unique le Rassemblement démocratique centrafricain (RDC), après Emile Gros Raymonde Nakombo qui en était le président. Il a momentanément pris ses distances avec ce parti lors des dérives politiques qu’a connues le pays a partir de 1996 jusqu’à son départ a Cotonou au Bénin pour le FAGACE.
Ce fin connaisseur des finances notamment les finances internationales apparait comme un recours ultime pour la relance de l’economie au moment ou la Republique centrafricaine fairt face aux grands defis economique et financiers lies a la relance economique et au developpement de la RCA .
Monsieur Dondra est aussi pasionné de la culture et un promoteur culturel. Artiste-musicien, chanteur-compositeur puis guitariste confirmé, il a créé une une qui fondation qui porte ses acronymes, HMD, qui fait dans les œuvres caritatives.
Somme toute, le ministre Henri–Marie Dondra a marqué son passage de manière remarquable partout où il pass. Ses actions marqué quinquennat du président Touadéra. Le choix Henri–Marie Dondra semble cadrer aux réalités de l’heure surtout que son profil de gestionnaire exemplaire sera d’un avantage pour la République centrafricaine.