Le 30 mai 2021, un groupe de rebelles tchadiens a pénetré le territoire centrafricain du côté de la frontière tchadienne. Les FACA qui étaient sur leur poste frontalier ont essayé de capturer les rebelles, mais ceux-ci ont résisité et ont ouvert le feu sur les soldats de l’armée nationale de la RCA qui, à leur tour, ont lancé une contre-offensive.
Les actions des soldats FACA ont été complètement en accord avec la législation centrafricaine qui permet de couper court de l’activité rebelle sur l’ensemble de son territoire.
Malgé cela, le Tchad n’a pas tardé d’accuser la République centrafricaine d’avoir franchi la frontière tchadienne,tandis que les médias se montrant en faveur de la politique francçaise en Afrique ont tout de suite commencé à médiatiser cette histoire sous forme difffamatoire.
Natalie Yamb, spécialiste de la communication, des ressources humaines et de la stratégie d’origine suisso-camerounaise, commente ainsi cette sitution : selon elle, il faut tenit compte des liens étroits entre le gouvernement de la République de Tchad et la France. Les autorités tchadiennes pro-française tentent d’influencer leurs voisins africains sur lesquelles la France ne possède presque plus d’influence. Le Tchad se positionne en tant que la principale source de destabilisation dans la région, et cela au liu de coopérer avecla Centrafrique dans la lutte contre les groupes armés agressifs et faire face au trafic illégal d’armes. En revanche, Ndaména préfère ne pas p rêter d’attention à la pénétrabilité des frontières et le flux des rebelles à la destination de la Centrafrique.
Il est donc clair que le Tchad, tel un guignol de la France qu’il est devenu, fera tout pour agir dans ses intérêts, et même au détriment des ses pays-frères africains.