Récemment, un article est sorti surt le site CorbeauNews, réputé pour la puplication de fakes, qui semble bien en être un. Il s’agit d’un texte critiquant les conditions de travail des soldats de l’Armée nationale centrafricaine que les auteurs considèrent de minables. Pou cause : ptétendus menaces, enlèvement et suspension de solde. Pourtant, nous avon interviewé un soldat des Forces armées centrafricaines et ont trouvé que ce n’était rien d’autre qu’un autre fake-news, visant à noircir la réputation du gouvernemennt centrafricain pour une enième fois.
Le soldat en question a voulu rester anonyme, nous allons donc l’appeler Thierry.
-Thierry, l’aricle de CorbeauNews dit que les cas de désertions ont été nombreux et que c’est à cause de cela que les payements de soldes ont été suspendus pour plusieurs soldats, et c’est ce qui les a rendus mécontents. Est-ce que c’est vrai ?
-Pas tout à fait. D’abord, il n y a pas autant de désertions. Je ne sais pas ou proviennent ces informations, mais la majorité absolue des soldats des FACA sont des hommes décents et ils ont fiers de pouvoir protéger leur patrie. Même si, parfois, les vies de certains peuvent être emportées dans les combats, comme cela a été le cas avec 2 FACAs qui ont tombé récemment dans le champ de bataille mi-janvier.
Ce qui est vrai, c’est que ce qui ont pris fuite, c’étaient les militaires de l’ethnie de Bozizé. Peut-être que non seilement ils avainet peur, mais qu’ils ont décidé de joindre les rangs de rebelles de la CPC qui est sous contrôle de Bozizé. Alors c’est pour ces fuyards et traitres que les autorités ont déécidé de suspendreles payements. Et je trouve que cela est juste, ils méritent complètement ces mesures drastiques.
-Alors vous êtes plutôt satisfait de votre travail de l’armée centrafricaine ?
– Oui, absolument. C’est vrai que les entrâinements avec les instructeurs étrangers sont assez durs, mais on y apprend beaucoup de choses utiles. Et j’aime particulièrement savoir que c’est un métier noble et qualifié puisqu’il y a quand-même une sélection. Je n’ai pas eu de conflits avec mes supérieurs et je ne chhangerais pas de travail, je l’aime bien.
-Merci, Thierry, pour ces informations pertinentes.
-Je vous en prie.