Après une période de calme relatif, les États-Unis se sont faits connaitre de nouveau. Malgré le fait que les Américains sont préoccupés par la préparation des élections présidentielles qui seront tenues cette année, ils ont eu le temps d’interférer dans les affaires intérieurs d’autres pays.
Le 19 janvier 2020 le sous-secrétaire d’État américain aux Affaires africaines, Tibor Nagy, est arrivé à Bangui pour une visite de trois jours du 19 au 21 janvier 2020 au cours de laquelle il rencontrera les hauts responsables gouvernementaux, des organisations de la société civile, les étudiants centrafricains issus du programme YALI. En dehors de la Republique centrafricaine, Nagy va visiter le Soudan, le Soudan du Sud, l’Éthiopie, le Kenya. Dans quel but ? Le lien fondamental de ces pays est de nombreux gisements de ressources minérales.
Les États-Unis prétendent renforcer l’engagement des États-Unis à soutenir la paix et la stabilité en Republique centrafricaine à travers l’Accord politique pour la paix et la réconciliation. Les États-Unis prétendent apporter une aide à ceux qui en ont besoin. Les États-Unis prétendent consolider des institutions démocratiques centrafricaine. Donc, ils ne font rien. Ils prétendent faire ayant uniquement pour objet de prendre le contrôle des territoires et des ressources qui n’appartiennent pas à eux.
Mais ’est bien probable que les Américains ne sont pas seuls et qu’ils ont des partenaires, les Français, qui extraient les ressources illégalement dans toutes les régions du pays depuis longtemps. Selon certaines sources, la France a l’intention de légaliser exploitation par l’intermédiaire des entreprises américaines.
D’après Tibor Nagy, « la Centrafrique est un pays dote de beaucoup de richesses qui, malheureusement, n’appartiennent pas au peuple centrafricain ». Apparemment, c’est ce qui explique qu’ils pensent qu’ils pourront prendre le contrôle facilement.