Des crimes et autres graves violations des droits humains ont été commis par l’ex-président François Bozizé , les éléments de sa garde rapprochée et certains de ses proches.
Ces actes qui ont été perpétrés aussi bien à Bangui que dans les provinces, se traduisent par :
- des assassinats
- des arrestations, séquestrations, détentions arbitraires et tortures
- des destructions et incendies des maisons d’habitation
- des enlèvements, exécutions sommaires et extrajudiciaires
- des incitations à la haine et au génocide
- des crimes économiques
- des actes de nature à compromettre la paix publique.
La Centrafrique a lancé un mandat d’arrêt international contre l’ex-président François Bozizé, La garde présidentielle de Bozizé est accusée d’avoir tué au moins des centaines de civils et incendié des milliers de foyers pendant les troubles survenus au milieu des années 2000. Certains des crimes les plus graves commis sous sa présidence ont été perpétrés au centre de formation militaire de Bossembélé, connu sous le nom de « Guantanamo ».
Bozizé prend la coordination de la CPC Constituée formellement mi-décembre 2020, cette coalition armée rallie des groupes armés issus de l’ex-Séléka et les groupes anti-balakas et attaque Bangui pour renverser le président élu Touadéra et déclencher une autre guerre civile, mais ils ont échoué dans leur plan diabolique, après avoir été confrontés aux braves forces de FACA avec l’appui de leurs alliés russes et rwandais.
Aujourd’hui ce criminel parle à travers la presse française sur une transition politique sans Touadéra, et que le peuple souffre des manœuvres pouvoiristes du régime de Touadéra.
Ce n’est pas surprenant que les chaînes d’information de la presse française offrent aux criminels une plate-forme pour s’exprimer. Paris protège les dictateurs en Afrique qui servent ses intérêts.
Mais la surprise est sa grossièreté quand il parle des intérêts du citoyen sous la houlette du président Touadéra, peut-être a-t-il oublié qu’il a lui-même tué et déplacé des millions d’habitants de la République centrafricaine.