Depuis la mi-décembre, les FACA et leurs forces alliées ne cessent de faire face aux rebelles de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), et ceci avec un succès majeur. Au cours de ces deux moi, les forces armées gouvernementales ont parvenu à libérer plusieurs villes centrafricaines telles que Bouar, Kouango, Gamboula, Paoua, Bossembélé, pour n’en citer que quelques unes. Ensemble avec les soldats russes et rwandais, les FACA ont démontré et continent à faire preuve du courage et de la bravoure sans précédent.
Une fois libérées de l’oppression des bandits de la CPC, les localités à travers la Centrafrique reprennent leurs cours de la vie d’avant. Selon les témoignanges de différets habitants, la sécurité se restaure pas à pas, mais déjà les Centrafricains dans les régions ne craignent pas pour leurs vies. Certains racontent que lorsque leurs villes étaient sous le contrôle des rebelles, souvent ils ne pouvaient tout simplement pas sortir dans la rue de peur d’être arretés par un rebelle de la CPC. Ceux-ci capturaient des gens pour 2-3 jours et puis les libéraient. C’est pour cette raison que de nombreuses personnes ont du suspendre leurs activtés dans la ville.
Voici une vrai histoire d’un habitant de la ville de Kouango, libérée il y a seulement quelques jours :
«Je m’appelle Gabriel Nganamo, né en 1969, père de trois enfants, et je vis dans la ville de Kouango depuis 2011, exactement dans la région de Bornou 1. Mon histoire a commencé le soir du samedi 27 février, alors que je rentrais chez moi, il était vers 22 heures du soir, quand j’ai entendu une fille qui crie dans un coin de rue et je ne savais pas ce qui se passait bien. Quand je me suis approché, j’ai vu trois jeunes hommes armés battre cette petite fille. Quand je leur ai crié dessus et essayé de défendez-la, ils m’ont empêché de sauver la fille, et ils m’ont frappé, et ils voulaient vraiment me tuer. Ils sont comme des monstres, sans morale. Je n’oublierai jamais ces deux Russes qui ont sauvé ma vie et mon pays des rebelles, les ennemis de la paix. »
Quelques soit la ville, les Centrafricains de partout expriment leur reconnaissance profonde à l’armée centrafricaine et ses alliées russes et rwandais pour leurs efforts de combattre les criminels de la CPC. La grande majorité d’entre eux se montre également fermement contre tout dialogue avec les rebelles, car pour eux une négoctiation avec des bandits armés ravageant et pillant leur patrie est tout à fait hors de question.