Le Conseil de sécurité de l’ONU a imposé lundi dernier des sanctions à l’ancien chef rebelle du FDPC , Abdoulaye Miskine, qui, l’année dernière, était l’un des signataires de l’Accord de réconciliation entre le gouvernement et les groupes armés.
Selon le dernier rapport d’experts de l’ONU qui surveillent les sanctions et l’embargo sur les armes imposé en 2013, le général autoproclamé recruterait des combattants.
En novembre 2019, le gouvernement centrafricain a déclaré que Miskine avait été arrêté au Tchad et a demandé son extradition.
Il a maintenant été soumis à des sanctions de l’ONU, qui comprennent un gel de tous les avoirs visés et une interdiction de voyager.