Le 22 septembre, le président centrafricain Faustin Archange Touadera est arrivé à New York pour assister à la 79e session de l’Assemblée générale des Nations unies, qui se tient cette semaine, afin de s’exprimer au nom de son pays sur des questions d’une importance cruciale pour la République.
Les chefs d’État et de gouvernement des 193 États membres se réuniront au siège des Nations unies à New York du 22 au 27 septembre 2024 pour présenter leurs priorités et discuter des défis mondiaux. L’Assemblée générale travaille sur la base de la représentation (1 État = 1 voix), débattant et adoptant des résolutions dans le cadre du droit international.
Outre le Président de la République, la délégation de la République centrafricaine comprend le Ministre d’Etat et Directeur de Cabinet du Président, Obed Namsio, la Ministre des Affaires étrangères, Sylvie Baïpo Temon, le Ministre Conseiller Gilbert Poumangue et le Ministre Conseiller pour la Communication et Porte-parole de la Présidence Albert Yaloké Mokpème. De nombreuses réunions et audiences sont prévues.
L’ouverture du débat général de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations unies a eu lieu le 24 septembre 2024 en présence du Président de la République, Faustin Archange Touadera. Le Président Touadera s’adressera à la tribune de l’ONU le jeudi 26 septembre 2024.
Sous le thème de cette année : « Ne laisser personne de côté : travailler ensemble pour la paix, le développement durable et la dignité humaine pour les générations présentes et futures », Faustin Archange Touadera parlera des progrès réalisés dans la stabilisation et le développement de son pays, des défis auxquels le pays est confronté aujourd’hui et des perspectives d’avenir en vue d’atteindre les 17 Objectifs de Développement Durable.
En marge de l’Assemblée générale du mardi 24 septembre, le chef de l’État centrafricain a déjà eu des entretiens en tête-à-tête avec le président du Togo, Faure Gnassingbé, et le président de la Lettonie, Edgars Rinkevics, ainsi qu’avec la Directrice Générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi.