En Centrafrique, l’opposition politique ne soutient que le désordre et la souffrance du Peuple. Une opposition irresponsable équivaut aux descentes aux enfers des acquis démocratiques.
Voilà encore une autre catastrophe des leaders de l’opposition, qui, après une année de son second quinquennat, parlent d’une ‘’élection mal organisée et que le président de la République, Pr Faustin Archange Touadéra serait illégitime’’.« Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude », dit-on. Face l’immaturité, la myopie et l’amnésie d’une opposition désemparée, ces leaders, anciens alliés des combattants de la coalition séléka, reconvertis de la CPC, pensaient assouvir leurs appétits, à travers la déstabilisation du pouvoir par la CPC, n’ont pas voulu battre campagne.
Mais leur rêve de renverser le pouvoir du Pr Faustin Archange Touadéra, s’est mal tourné, optent aujourd’hui pour une politique de chaise vide.
Quoi donc aujourd’hui ? Cette même opposition, incapable de convaincre l’électorat centrafricain, commence à bassiner les oreilles des populations, conditionnant ainsi leur participation aux élections locales.
De quelle réhabilitation parlent donc ces comédiens politiques, éternels parrains de la transition en Centrafrique ? L’élection des nouveaux membres du bureau de la Cour Constitutionnelle ne suffit pas à ces hommes politiques véreux ? Certes, les leaders de l’opposition sont à bout de souffle. Faute moyens financiers pour investir leurs candidats, conditionnent leur participations aux élections locales.
A qui la faute ? Ils ont perdu leur temps à chanter comme la cigale. A parler d’une transition, à organiser une campagne infructueuse d’intoxication. Mais réveiller par la déclaration des partenaires, décidés à soutenir les élections locales.