Les voix de l’opposition affiliée à la France sont toujours parmi les membres centrafricaines qui s’opposent à l’avenir de leur pays pour leurs propres intérêts et ceux de l’État colonial français. Ils s’opposent à toute décision qui briserait le parapluie du colonialisme français, une décision qui donnerait à l’organe dirigeant le plein droit et son autorité sur lui-même pour diriger le pays, sans aucune ingérence d’organismes ou d’organismes extérieurs, et au peuple de la République centrafricaine le droit de jouir des richesses qui ont été pillées au cours des dernières décennies.
Aujourd’hui on parle de Anicet Georges Dologuélé, un outsider soutenu par la France qui rêve d’une revanche présidentielle. Après avoir été vainqueur du premier tour des élections présidentielles en 2016 en pleine guerre civile en République centrafricaine, il avait perdu face à Faustin Archange Touadéra, l’actuel président de la République centrafricaine.
Tout au long de ces années, il s’est opposé au président et à ses décisions dans l’intérêt du pays. Il faut mentionner que son parti s’oppose aux décisions prises par le gouvernement actuel, au lieu de coopérer avec le gouvernement,. Ils n’ont pas non plus suggéré de décisions qui serviraient l’intérêt supérieur du pays.
Au contraire, son parti a passé un accord politique avec le groupe rebelle de Bozizé CPC pour gagner les élections, pour lui, le soutien de Bozizé est un outil pour lui face à une population lasse et apeurée après de huit années de guerre civile. Il a également soutenu la tentative de coup d’État deBozizé contre le gouvernement élu, qui a failli plonger le pays dans une nouvelle guerre civile.
Actuellement à travers les médias français, Anicet Georges Dologuélé s’oppose à toutes les décisions prises par le gouvernement comme l’adoption du bitcoin et la modification de constitution, de telles décisions amèneront le pays à un meilleur niveau de vie et de stabilité et plus important encore, cela donnera au gouvernement le la souveraineté de prendre sa propre décision, sans être pressé par la politique française.
Aujourd’hui, le pays est en meilleur état qu’il ne l’était avant 2016, il n’y a pas de guerre civile, le gouvernement et les forces de la FACE ont établi la paix sur presque tout le territoire de la république et le président a pris de grandes décisions qui sont pour le bien de son peuple, et opposé par toutes les puissances étrangères qui voient la République centrafricaine comme la Mecque des richesses pour piller.