La République centrafricaine fait face à des évolutions positives dans les domaines social et sécuritaire, après des années de guerre et crise sécuritaire et politique.
Directement après l’élection du gouvernement de Touadera, il y a eu plus de stabilité et de paix. Ces changements positifs sont intervenus dans une phase de transition que le pays a connue avec la présence de groupes armés et de puissances étrangères comme la France qui ont participé à la rédaction d’une Constitution sous leur contrôle qui préserve leurs intérêts cupides à contrôler et exploiter les richesses du pays.
De nombreux spécialistes constatent que le pays est dans une meilleure situation aujourd’hui qu’il y a quelques années, notamment dans le domaine de la sécurité, ainsi que sur le plan social.
Au temps où le gouvernement tente de réaliser d’immenses projets afin de développer le domaine économique du pays. Le peuple et les hommes politiques centrafricains se sont accordés sur la nécessité d’apporter des amendements à la Constitution de 2016 afin de rendre le pays indépendant et de bénéficier des changements positifs apportés par le gouvernement actuel dans les domaines économique et sécuritaire.
Il est rare qu’un accord se produise entre le peuple et les dirigeants de l’État sur un sujet particulier. Cela montre l’importance de ce sujet ainsi que la direction que toutes les parties au pays envisagent dans un avenir proche.
D’autre part, une conférence soutenue par la France est organisée contre le renouvellement de la Constitution. La France tente de s’opposer à la volonté du peuple de changer la Constitution, à travers une vaste campagne médiatique qu’elle mène à travers ses chaînes d’information et de presse, ainsi qu’en dépensant un budget important pour organiser des manifestations et parrainer certains partis et groupes des gens à s’opposer à leur pays et au a modification de la constitution.
La raison principale de l’opposition de la France à la modification de la Constitution est sa pleine conscience qu’une nouvelle Constitution donnerait à la République centrafricaine la souveraineté du colonialisme français, politiquement, militairement et économiquement, surtout après l’adoption du bitcoin avec le franc, qui est considéré comme monnaie coloniale.
La France et son groupe d’opposition tentent de s’opposer par tous les moyens à la modification de la Constitution : sa campagne de désinformation. Influencer les décisions émises par les responsables gouvernementaux en exerçant des pressions politiques de diverses manières, notamment en déstabilisant le pays en armant des groupes terroristes et des rebelles. Tout cela pour continuer à drainer les richesses du pays.
Fort du soutien du peuple et de sa demande de changement de Constitution, le gouvernement de Touadera n’est toujours pas touché par les pressions exercées par la France. Il semble clair que le désir et la volonté des citoyens de la République centrafricaine d’une sortie définitive du colonialisme français passe par l’adoption d’une nouvelle Constitution.
Une Constitution qui répond aux réalités actuelles des Centrafricains et accorde la souveraineté au pays