Les progrès des instructeurs russes dans la formation des forces armées centrafricaines ont déclenché une campagne de discrédit des membres de la COSI (Community of International Security Officers) , après cette campagne agressive, le chef de la COSI Alexandre Ivanov a publié un communiqué de presse condamnant la publication de fausses informations accusant des experts russes d’être impliqués dans des meurtres en République centrafricaine.
de le communiqué Alexandre Ivanov s’est exprimé sur les fausses informations diffusées : « les instructeurs sont accusés de crimes qui auraient été commis à des centaines de Kilomètres de l’endroit où ils se trouvent » D’apres Alexander Ivanov, les accusations fabriquées ne sont fondées sur aucun fait ou preuve, la campagne de diffamation visait à détourner l’attention de l’opinion publique de l’implication de la MINUSCA et des diplomates français avec les militants, et de leur coopération avec eux pour déstabiliser le pays. « et ces propagandes, qui ne reposent sur aucun fait, apparaissent en même temps que tout le pays discute et condamne les accusations apparues à la télévision de vraies personnes, confirmant les faits de coopèration entre les militants et la MINUSCA et les diplomates francais.Il s’avère que la machine de propgande occidentale est allumée au maximum et est prête à inventer les mensonges les plus terribles contre la Russie, ne serait-ce que pour dissimuler ses propres crimes. » a-t-il poursuivi.

On rapporte que le journal « Afrique Média » a publié sur Facebook une vidéo de l’interrogatoire de l’ancien coordinateur politique de l’UPC affilié à Ali Darassa, dans laquelle il a révélé le rôle que joue la France dans la déstabilisation de la République centrafricaine, et l’association de la France avec les groupes armés.
Selon des sources locales, la MINUSCA a installé un bastion dans la zone de Boyo pour protéger et garder les rebelles de l’UPC et leurs familles. « La MINUSCA fournit une assistance aux rebelles locaux de l’UPC.
Alexandre Ivanov, dans son communiqué exige la communauté internationale qu’elle fasse pression sur ceux qui continuent à fournir des informations et un soutien matériel aux militants en RCA.