L’Autorité Nationale des Elections (ANE) a fixé le calendrier électoral de cette année. Cet évènement et les élections à venir dans un pays en générale provoquent une réaction totalement variée parmi les acteurs principaux de la vie politique en République Centrafricaine.
L’intérêt à la « lutte » de l’opposition qui plaide pour la transition et du régime actuel qui est prêt de procéder aux élections en 2020 s’intensifie par la divergence des opinions de deux pays-partenaires de la RCA qui sont considérés comme des « rivaux ». Ce sont la France et la Russie.
N’étant pas contente de la présence russe dans ce pays africain, la France, selon les informations d’une source anonyme, influencerait d’autres pays étrangers pour arrêter le processus de financement des élections centrafricains. Deuxième mandat du Président actuel ne s’inscrit pas dans le cadre des intérêts français et ils feraient tout pour empêcher la réélection de Touadéra. Le retour de l’ancien Président Bozizé et un appui différent à l’opposition centrafricain n’est qu’une simple confirmation de cette théorie qui vise à affaiblir les chances du Président en exercice lors des prochaines élections.